Défis de transports pour la TDLG

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Les participants de la 16e édition de la TDLG. Photo : Ricochet Design

Le transport s’avère un véritable défi pour le comité organisateur de la 20e édition de la Traversée de la Gaspésie.

À quelques jours du début de l’événement, l’organisation va bon train. Les hébergements sont réservés, les tracés sont finalisés, les très fidèles bénévoles sont de retour en grand nombre et la météo s’annonce clémente.

Plus d’une centaine de personnes provenant des centres urbains et de l’international sont attendues du 5 au 11 mars pour découvrir les majestueux paysages du parc Forillon, de Percé et de la pointe de la Gaspésie.

Cependant, le transport s’avère un enjeu majeur. Un véritable casse-tête dont se serait bien passée Claudine Roy, la présidente de la TDLG :

Du côté de l’aérien, l’annulation subite des vols en provenance de Montréal a un impact certain auprès des participants provenant de l’international :

 

Pour ce qui est du transport par autobus nolisé, la situation n’est pas meilleure :

 

Heureusement, pour cette édition de la TDLG l’essentiel des parcours se trouve dans la région immédiate. Les organisateurs auront donc recours à des autobus scolaires qui seront en mesure de transporter les participants dans les différents lieux d’activités.

Malgré tous les défis et les nombreux efforts, Claudine Roy se dit optimiste et compte bien livrer un événement à la hauteur de la beauté des paysages et de la générosité de la population.

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