Les organisateurs de BleuBleu demandent la collaboration du public pour débusquer un ou des cas d’agression qui pourrait être survenu lors de la dernière édition du festival à Carleton.
La co-présidente de l’événement, Myriam-Sophie Deslauriers, fait un appel à tous parce que, selon la rumeur qui est de plus en plus persistante, plus d’un cas d’intoxication involontaire pourrait être survenu.
La Sûreté du Québec avait indiqué, après l’événement, ne pas avoir eu à traiter de plainte en ce sens. Aucun signalement officiel n’est entré, non plus, par le comité organisateur, selon l’instigatrice du festival qui a attiré 7500 spectateurs environ du 20 au 23 juin.
Mais, à la lumière des informations qui sont entrées la semaine dernière, l’organisation a lancé un message sur son compte Facebook :
Les sites considérés les plus à risque sont la plage, où ont lieu les after partys, et le quai qui attirent des foules plus importantes.
C’est pourquoi les travailleurs de milieu, des abris et de la sécurité sont déployés. Tous les bénévoles sont formés, aussi, indique Myriam-Sophie Deslauriers :
Ainsi, tous ceux qui pourraient avoir été témoins ou victimes sont invités à communiquer avec le CALAC ou avec la Sûreté du Québec.