PAS QUESTION

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    La Commission scolaire des Chic-Chocs refuse de toucher aux services éducatifs pour rembourser la taxe scolaire exigée par Québec.

    Le gouvernement de Pauline Marois a demandé la semaine dernière aux commissions scolaires du Québec de rembourser 100 des 200 millions de dollars qu’elles ont imposés en taxation aux contribuables. Cette taxe faisait suite à une demande de compression du gouvernement dans le but de retrouver l’équilibre budgétaire.

    Pour le président de la commission scolaire, Jean Pierre Pigeon, cette demande est inacceptable et si elle est appliquée risque de toucher les services éducatifs

     

    Après avoir été coupée depuis les 4 dernières années, la commission scolaire n’a pas les moyens de compresser d’avantage.

    Le gouvernement du Québec met en aussi en place un comité d’expert pour analyser le fonctionnement des commissions scolaires qui pourraient mener jusqu’à l’abolition de ces dernières dans leur forme actuelle.

    Jean Pierre Pigeon explique que cette manœuvre du PQ a pour but de s’attirer des votes pour de prochaines élections.

     

    Le président de la Commission scolaire des Chic-Chocs affirme que seulement 35 personnes travaillent aux centres administratifs sur les 1000 employés de l’institution.