Destination Gaspé met les bouchées doubles pour maximiser les retombées économiques des croisières sur la région.
La première escale du brise-glace de luxe Le Commandant Charcot, à Gaspé, en janvier, a permis à plus de 300 passagers et membres d’équipage d’explorer la pointe gaspésienne.
Pour l’instant, les effets concrets tardent à se faire sentir chez certains commerçants de la rue de la Reine. Toutefois, de l’aveu même d’Escale Gaspésie, certains ajustements restent à apporter dans la présentation de la destination, dans le but de maximiser les retombées économiques à destination.
Pour le directeur d’Escale Gaspésie, cette première croisière d’hiver a été l’occasion de séduire la compagnie et de leur présenter de manière plus concrète la ville de Gaspé et ses commerces. Igor Urban a d’ailleurs effectué une tournée de familiarisation de la ville de Gaspé avec une responsable de Ponant, la compagnie de croisière :
Si les croisiéristes semblent plus timides à dépenser une fois sur place, c’est tout autre chose pour l’équipage du navire. Les travailleurs du Commandant Charcot ont profité d’un service de navette tardif pour profiter de l’hospitalité gaspésienne :
Chez Destination Gaspé, on se déclare tout de même globalement satisfaits de cette première expérience. À nouveau, Igor Urban :
Rappelons qu’au bas mot, les retombées économiques minimales liées à la logistique (frais de port, hébergement, activités, repas, etc) sont estimées à environ 21 000 dollars par escale hivernale.