La cellule de crise sur le transport aérien, mise en place après le départ d’Air Canada, a présenté hier 8 conditions au gouvernement du Québec pour assurer la survie du transport aérien dans les régions.
Les membres de cette cellule soit, l’Alliance de l’industrie touristique du Québec, le Conseil du patronat du Québec, la Fédération des chambres de commerce du Québec, le Réseau québécois des aéroports et l’Union des municipalités du Québec, ont tenu une première rencontre mardi en présence du ministre des Transports, François Bonardel .
Le maire de Gaspé, Daniel Côté, aussi Vice-président de l’UMQ, explique que les membres ont demandé à Québec d’agir rapidement pour assurer l’avenir du transport aérien dans les régions.
À court terme, Daniel Côté croit que la solution passe par les compagnies aériennes existantes sur le territoire québécois qui ont déjà de l’expertise pour les services de billetterie et les systèmes de réservation existants.
Le maire de Gaspé ne met pas de côté pour autant l’idée d’une formule de coopérative ou de régie intermunicipale pour la gestion du transport aérien dans les régions. Des ententes pourraient survenir à plus long terme.
Daniel Côté affirme que la cellule de crise s’est fixé un calendrier très serré pour s’assurer que le service aérien dans les régions soit de retour au plus tard en septembre.
Bonjour,
Hydro-Québec possède deux excellents Q-400 qui ne volent presque pas. Créons une société d’état comme celle des traversiers et utilisons au départ les Q-400 de notre société Hydro-Québec.
Gaston Langlais – Gaspé.
Bonjour,
C’est un service aérien accessible à tous qu’il faut mettre en place. Pas un service uniquement pour ceux et celles dont le coût du billet est remboursé. Les tarifs doivent être raisonnables et comparables.
Gaston Langlais – Gaspé.